Club Élevage Trot mise sur les poulinières

À plusieurs, on est plus fort. Cela pourrait être le leitmotiv de la nouvelle initiative du site Club Élevage Trot, fondé en 2016 par Michel Gasselin, qui se concentre sur la mise en vente de parts de poulinières. Habituellement, ce sont des étalons qui sont syndiqués, mais cette fois-ci, le site propose ce type d’investissement avec les reproductrices. Une place de marché dédiée, similaire à celle existant pour les parts d’étalons, sera déployée en septembre.

Au centre de l’attention, il y a déjà Histoire Pierji, une fille de Ready Cash et Brettia Pierji, élevée par Pierre Julienne. Elle est suitée d’un mâle de Love You et désormais pleine du retentissant vainqueur de l’Elitloppet 2024, Horsy Dream. Le prix d’une part (3 des 10 mises en vente ayant déjà été vendues) est fixé à 11 500 € hors taxes, toutes les modalités étant disponibles sur club-élevage.fr.

Ils ont dit :
Michel Gasselin, président de Club Élevage Trot : “En facilitant à tout un chacun l’investissement dans le haut de gamme de l’élevage de trotteurs français, nous offrons désormais à nos clients l’opportunité de faire naître les top-price et les étalons de demain. La syndication d’Histoire Pierji sera rapidement suivie par plusieurs autres syndications de poulinières exceptionnelles que nous sommes en train de sélectionner, pour que nos investisseurs puissent dupliquer la stratégie de diversification qu’ils adoptent déjà dans leurs portefeuilles de parts d’étalons.”

Dimitri Gallier, responsable du lancement de cette nouvelle offre : “Avec ce modèle unique de syndication, nous comptons remettre en valeur la génétique femelle, qui demeure l’élément clef pour faire naître des champions, mais également contribuer au dynamisme de la filière. Le lancement en septembre prochain de notre place de marché “I Want The Winner”, qui commercialisera des foals et yearlings de prestige en parts de 10 %, permettra à chaque indivisaire de choisir librement s’il préfère conserver sa part dans un produit né ou s’il souhaite la vendre.”